dimanche 1 février 2009

Des promesses d'algues

Voici une délicieuse carte de voeux réalisée par Richard Atlan, un ami, artiste sensible, dont le coup de pinceau et les couleurs m'enchantent, je partage cette jolie image avec vous.

Vous pouvez aussi vous faire du bien aux yeux en allant sur son site internet http://www.richard-atlan.com/
Et nous voilà de retour sur la mer, dans les ports, et prêts à l'embarquement... je vous promets que ce n'est pas fait exprès....
Mais on dit aussi qu'il n'y a pas de hasards....
Regardez ce vert abyssal tout en fraicheur et en promesse d'algues et de sirènes...

Bonne journée...aquatique

5 commentaires:

Anonyme a dit…

J'aime aussi ce paquebot fantasque qui a quelque chose du bateau ivre sur une mer luminescente ! Et quelque chose qui renvoie du côté de l'enfance à ces bateaux en plastique à couleurs grossières qu'envoie sur la "flache où vers le crépuscule embaumé / Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche / Un bateau frêle comme un papillon de mai."

Anonyme a dit…

Une peinture, comme un air de départ, de nouveaux horizons ?

Anonyme a dit…

J'ai fait un petit tour sur son site.Voilà un artiste dont les oeuvres me touchent beaucoup :une recherche généreuse tout en simplicité, une pureté des lignes et des couleurs sans parler des mouvements gracieux et évocateurs .

En ce dimanche de grisaille ,une jolie expo de tableaux ,parcourue à la maison grâce à notre petite fée Baboulight .

Bonne route dans ta traversée à bord de ce paquebot de rêves mais dis- moi vers quelle destination ?

Anonyme a dit…

les deux consolés. contes pour mon bébé.Le rand philosophe disait un jour à une femme désolée, et qui avait juste sujetde l'être;< madame, la reine d'angleterre fille du grand henri 4a été aussi malheureuse que vous ;on la chassa de ses royaumes;elle fût prête a périr sur l'oçéanpar les tempêtes;elle vît mourrir son royal époux sur l'échafaud. j'en suis fachée pour elle, dit la dame; et elle se mît à pleurer sur ses propres infortunes."mais, dit Citophile, souvenez voue de Marie Stuart; elle aimait fort un brave musicien qui avait unetrès belle basse taille. son maritua son musicien à ses yeux; et ensuite sa bonne amie et sa bonne parente la reine élisabeth, qui se disait pucelle,lui fît couper le cou sur un échafaud tendu de noir, aprèe l'avoir tenu en prison 18 années. celà est fort cruel répondit la dame;et elle se replongeat dans sa mélancolie."vous avez peut être entendu parler, dit le consolateur , de la belle Jeanne de Naples, qui fût prise étranglée?Je m'en souviens confusément, dit l'affligée; Il faut que je vous conte , ajouta l'autre, l'aventure d'une souveraine qui fut détronée de mon temps après souper ,et qui est morte dans une ile déserte . Je sais toute cette histoire dit la dame. et bien donc, je vais vous apprendre ce qui est arrivéà une autre grande princesseà qui j'ai montré la philosophie. Elle avait un amant, comme ont toutes les belles et grandes princesses. Son père entra dans sa chambre, et surprît l'amant,qui avait le visage tout en feu et l'oeil étincelant comme une escarboucle; la dame aussi avait le teint fort animé.Le visage du jeune déplût tellement au père qu'il lui appliquale plus énorme soufflet qu'on eût jamais donné dans sa province.L'amant prît une paire de pincettes et cassa la tête au beau père, qui guérit à peine, et qui porte encore la cicatrice de cette blessure. L'amante éperdue,sautât par la fenêtre et se démit le pied; de manière qu'aujourd'hui elle boite visiblement,quoique d'ailleurselle ait la taille admirable.L'amant fut condamné à la mort pour avoir cassé la tête à un très grand prince. Vous pouvez juger de l'état oû était la princesse quand on menait pendre l'amant. Je l'ai vue longtemps lorsqu'elle était en prison; elle ne me parlait jamais que de ses malheurs. Pourquoi ne voulez vous donc pas que je songe aux miens? lui dit la dame. C'est dit le philosophe,parce qu'iln'y faut pas songer, et que,tant de grandes dames ayant été si infortunées, il vous sied mal de désespérer. Songez à Ecube, songez a Niobé. Ah! dit la dame, si j'avais vécu de leur temps, ou de celui de tant de belles princesses, et si pour les consoler vous leur aviez conté mes malheurs, pensez vous qu'elles vous eussent écouté? Le lendemain, le philosophe perdit son fils unique, et fut sur le point d'en mourrir de douleur. La dame fit dresser une liste de tous les rois qui avaient perdus leurs enfants, et la porta au philosophe ; il la lut,la trouva fort exacte, et n'en pleura pas moins. Trois ils se revirent et furent étonnés de se retrouver d'une humeur très gaie.
Ils firent ériger une belle statut AU TEMPS, avec cette inscription
A CELUI QUI CONSOLE.

Anonyme a dit…

Petite visite sur le site de Richard Atlan : très belle présentation, dynamique ; belles réalisations tant pour des projets d'affiche que pour les toiles...
J'aime la finesse des lignes des dessins à l'encre, qui contraste avec la rondeur des formes des femmes posées sur ses toiles...
Rebizz bizzz