jeudi 11 décembre 2008

Feu de bois, feu de coeur

Nénuphars en Birmanie - photo "revisitée"

Un instant blottie devant la cheminée,
le bois crépite,
les flammes virevoltent et réchauffent
l'âme et parfois le cœur...
Là bas, tout près, il fait froid,
la pierre est battue par les vents
si glaciale qu'elle retient les flocons...
combien de flambées faudra t-il ?
La lumière doit passer.
Elle passera.

Battons le briquet et frottons l'allumette,
flammèches que voilà
feu de tendresse
brulera

Chaude journée





Découvrez Enya!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ayons le coeur à l'Ecosse et au "peat fire flame" sous cet air d'Enya si bien trouvé...

Chorus
Oh, cruel was the snow that sweeps Glencoe
And covers the grave o' Donald.
Oh, cruel was the foe that raped Glencoe
And murdered the house of MacDonald

They came in a blizzard, we offered them heat,
A roof for their heads, dry shoes for their feet.
We wined them and dined them, they ate of our meat
And they slept in the house of MacDonald.

Chorus

They came from Fort William with murder in mind.
The Campbell had orders King William had signed.
"Put all to the sword"- these words underlined,
"And leave none alive called MacDonald."

Chorus

They came in the night when the men were asleep,
This band of Argyles, through snow soft and deep,
Like murdering foxes amongst helpless sheep,
They slaughtered the house of MacDonald.

Chorus
Some died in their beds at the hand of the foe;
Some fled in the night and were lost in the snow;
Some lived to accuse him who struck the first blow;
But gone was the house of MacDonald.

Anonyme a dit…

Sacré Sheumas ! Tu as l'art de toujours trouver la référence littéraire adéquate ! Je suis admirative !

La zen attitude convient bien à la soirée "feu de cheminée" et à l'ambiance ainsi portée ! J'aime me lover face à lui et me perdre dans les flammes... Quant aux nénuphares, ils nous rappellent que les beaux jours reviennent et ne sont jamais loin...